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Forum de Jeu de Rôle dans un monde Médiéval-Fantastique
 
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 Sur les routes.

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4 participants
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Akhoris
Grand Mangeur de Chatons
Akhoris


Messages : 17
Date d'inscription : 24/09/2011

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MessageSujet: Sur les routes.   Sur les routes. EmptyMar 17 Mai - 14:54

C'était vraiment trop bizarre.
Akhoris avait à peine rencontrer ses deux nouveaux compagnons que tout partait déjà dans tout les sens. Il ne s'était pas présenté, n'avait pas dit pourquoi il les avait rejoint à leur table. Il n'avait pas eu le temps de profiter de la bière que lui avait offert Ëalmir, puisque tel était le nom de l'elfe. Il ne s'était encore rien passé qu'un vieux avait débarqué de nul part, avait soi disant préparé leur rencontre, leur avait dit d'aller au sud, là où de toute façon ils comptaient tous déjà aller, et c'était barré dans un nuage d'une couleur étrange. Depuis quand les gens pouvait se téléportaient déjà ! Et c'était quoi cette fumée dégueu ?! Un pouvoir que les humains acquièrent avec l'age ? Mais alors cette fumée c'était un pet ? Mais c'est dégueu !!!
Il devait être totalement sénile ce résidu de graine périmé ! Non mais faut les enfermer les vieux à cet âge là ! Toujours est-il qu'il avait totalement cassé l'ambiance entre Ëälmir et lui ! Va tenter de faire connaissance avec quelqu'un quand il y a un vieux qui vient te gueuler dessus des trucs incompréhensibles et se barre en te pétant dessus. En plus l'elfe s'était mis à réfléchir dès que le vieux s'était barré et le nain qui avait roupillé tout du long se dit qu'il en avait vraiment rien à faire et qu'il préférait aller roupiller ailleurs. Oui parce que notre héro venait de comprendre en observant les gens monter à l'étage en vidant peu à peu la pièce commune qu'il pouvait en fait dormir sur place.
Déçu de cette ambiance nulle, Akhoris s'éloigna de l'elfe perdu dans ses pensées pour aller négocier une chambre avec l'aubergiste et aller se coucher à son tour. Quelle soirée de merde n'empêche !

Toujours est-il qu'après une nuit de sommeil le vieux paraissait déjà loin ! Décidé à ne pas abandonner ses nouveaux compagnons auprès desquels il ne s'était toujours pas présenté, ni n'avait exprimé son désir de partir avec eux, Akhoris revêtit rapidement ses habits qui avaient connu des jours meilleurs.
En effet, lorsqu'il avait quitté son village, Akhoris était revêtu d'une magnifique combinaison de cuir qui moulait parfaitement son corps et n'entravait aucun de ses mouvements. Idéale pour les longues marches et se déplacer sans bruit et sans gêne. Seulement voilà, les village-nid des icariens sont situés pour la plupart en haut de pics escarpés dont l'accès est difficile autrement que en volant ! Le hic c'est que lui il ne savait pas se transformer ! Alors autant dire que lorsqu'il avait du descendre les falaises séparant son monde de celui des autres races, il avait galéré sa mère le piaf ! Manquant de se casser des membres plusieurs fois, de se tuer encore plus de fois, Akhoris avait finit par atteindre le sol entier et sans blessure grave par on ne sait quel miracle ! Mais ses vêtement eux n'avaient pas eut cette chance. Déchiré à de multiples endroits, tout comme sa peau, certaines parties entières de sa tenue pendouillaient lamentablement. N'ayant pas les moyens de racheter une tenue de telle qualité, Akhoris s'était contenté de la raccommoder au mieux, et le résultat s'il n'était pas splendide, avait l'avantage d'avoir conservé une certaine efficacité.
Il se précipita à l'extérieur dès l'aurore et pour empêcher ses nouveaux "amis" de s'enfuir, et se posta à la sortie sud du village, persuadé qu'ils passeraient par ici. Ne restait plus qu'à les attendre pour les convaincre de le prendre comme compagnon !
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Ëalmir
Maître des Furets
Ëalmir


Messages : 71
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Localisation : Juste derrière votre épaule

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MessageSujet: Re: Sur les routes.   Sur les routes. EmptyMar 17 Mai - 18:03

Le vieil homme fut alors entouré d'une fumée octarine et disparut.

Cela fit une peur bleue à mes furets qui s'enfuirent en dehors de la taverne. Bah, j'en dresserais d'autres. Ceux-ci n'étaient guère obéissants de toute manière. La perte de mes furets fit rejaillir un souvenir de jeunesse. J'avais neuf ans quand Hirir Anárialil m'avait confié mon premier furet, dés lors je m'étais pris d'affection pour ces petites bêtes et même si aucune n'avais survécu ou simplement n'étais resté avec moi plus de trois semaines, je n'avais jamais abandonné. Peut-être était-ce un moyen de combler le grand vide dans mon cœur.

Flashback des furets:
Il fait beau, mon frère et moi venons de quitter le terrier familial, nous devrions nous séparer mais ni lui ni moi n'en avons envie. La vie est plus difficile sans maman pour nous apporter à manger, nous n'avons jamais aimé chasser et maintenant il va bien falloir s'y mettre. Nous tentons d'attraper quelque rongeur mais c'est beaucoup plus difficile que quand maman nous montrait, ni moi ni mon frère n'arrivons à mettre la griffe sur la moindre souris, c'est qu'elles courent vite. Nous dormons pour la huitième nuit le ventre vide. Quand je suis réveillé par une douce odeur, je constate que mon frère est déjà parti en direction de l'odeur. Je décide de le suivre, ça provient d'un grand rouge-qui-brûle, il y a un marche-sur-deux-pattes à côté, il est plus grand que ceux que j'ai vu par le passé, maman nous a bien dit de ne jamais nous approcher de ces créatures, mais ça sent si bon et nous avons si faim...  Nous nous approchons d'un pas circonspect, il a l'air de nous avoir repéré et nous jette un morceau de viande, nous nous jetons dessus mon frère et moi à peine l'avons nous terminé qu'un autre atterri juste à côté. Pourquoi maman nous avait-elle dit de nous méfier des marches-sur-deux-pattes? Il nous offre un véritable festin.
Repu et épuisé, mon frère et moi nous endormons comme des masses. Le lendemain matin, le marche-sur-deux-pattes est toujours là et il a l'air de nous inviter à le suivre. Je jette un coup d’œil à mon frère qui est déjà sur ses talons, je suis donc sa décision et nous le suivons. Pendant deux semaines, il essaie de communiquer avec nous et on commence à comprendre ce qu'il attends de nous, il nous demande de l'aider à pister des animaux, même s'ils sont beaucoup plus gros que nous, maman n'aurait jamais approuvé que nous suivions la piste d'un ours mais le marche-sur-deux-pattes est fort et il tue l'ours. Il nous donne une partie de son butin, je n'aurais jamais cru que la viande d'ours puisse être si savoureuse. Le lendemain nous croisons deux autres marches-sur deux-pattes, notre maître en tue un et suit l'autre jusque dans son terrier. Il ont 'air de discuter pendant un long moment puis nous mangeons et passons la nuit dans son terrier. Est-ce commun pour les hommes de partager ainsi leur terrier? Jamais nous n'aurions dormi dans le terrier d'un autre furet.
Le lendemain matin, nous attendons sans rien faire, c'est la première fois que le maître est aussi inactif, j'en profite pour essayer de mordre la queue de mon frère, qui ne se laisse pas faire, nous nous poursuivons pendant un moment jusqu'à ce que le maître nous ordonne de stopper. Nous suivons ensuite un grand nombre de marche-sur-deux-pattes dont un tout petit sans doute un enfant. Il est beaucoup plus poilus que les autres en tout cas, sans doute les marches-sur-deux-pattes perdent leur pelage à la maturité. Nous atteignons une caverne, dans la caverne, il y a une bête immense, notre instinct nous ordonne de fuir mais le maître est là alors nous restons un peu, rapidement l'enfant marche-sur-deux-pattes attaque la bête au terme d'un combat bref, et sans que le petit marche-sur-deux-pattes ne la tape plus, elle reste étendu au sol sans bouger. D'autres marches-sur-deux-pattes arrivent et ceux qui étaient avec nous fuient, cette espèce est vraiment bien compliqué, notre maître charge l'ennemi, alors pour l'aider nous nous lançons à l'assaut de la bête monstrueuse, nous la mordons de toute part mais elle ne réagit pas. C'est étrange. Sa viande n'est pas bonne en tout cas. Pouah. Nous nous éloignons de la bête et notre maître sors de la caverne. Nous le suivons, nous marchons longtemps jusqu’à retrouver d'autres-marches-sur-deux-pattes. C'était bien au début mais là cette vie commence à devenir bien fatigante, nous allons jusqu'à un immense terrier de marche-sur-deux-pattes. Je commence à avoir une furieuse envie de m'enfuir, je regarde mon frère qui a l'air dans le même état que moi. Pense à la viande, je me rassure. Et rentre dans un terrier de marche-sur-deux-pattes. Il y en a beaucoup trop là-dedans, nous avons un peu peur. Un mi-marche-sur-deux-pattes mi-oiseau vient vers nous, il est vraiment bizarre. Un autre marche sur-deux-pattes vient puis disparait dans un grand pet coloré, c'en est trop pour nous, tant pis pour la viande, on va apprendre à chasser, nous détalons ventre à terre hors de la taverne.
Fin du flashback


Revenons à notre vieux. Il n'avait encore pas dit tout ce qu'il savait... Mais suffisamment pour piquer ma curiosité, d’étrange créatures, était-ce seulement des hommanimaux, béorites, worgens ou icariens, non sans doute pas. Ce vieil homme avait l'air d'en savoir beaucoup et ces créatures sans courir les rues n'était pas non plus rare. Une nouvelle race... Soit j'irais voir de quoi il retournait, ne serait-ce que pour approfondir mes connaissances de ce monde, de toute façon j'étais en train de chercher comment m'occuper, une aventure dans le sud serait un bon moyen de me distraire et je finissais par m'habituer à ce nain, même si ces remarques incessantes étaient horripilantes, il avait un je-ne-sais-quoi d'attachant. Et cet Icarien...
Le tavernier arrivant à la table avec les deux bières que j'avais commandés et les morceaux de viande,me sortis de mes réflexions et je constatai que mes deux camarades avaient disparus. Je lui indiquais que mes furets s'étant enfui je n'avais plus besoin de la viande mais que j'allais garder les deux bières. Je les bus rapidement. Ma soif enfin étancher, je revins à l'absence du nain et de l'icarien. Ils étaient sans doute partis se coucher. Pour ma part je ne me sentais pas fatigué, peut-être devrais-je partir sans eux après tout. Non, quelque chose me retenait avec eux, peut-être que ce vieux ne nous avait pas réuni par hasard. Mais il y avait quelque chose d'autre, je me sentais en quelque sorte lié à eux, qu'était-ce donc que ce sentiment, je ne leur devais pourtant rien. Mais je ne pouvais pas non plus les abandonner sans un mot.
Je décidais alors de sortir un peu pour réfléchir à tout ça, et de toute façon le tavernier commençait à indiquer la sortie à ses clients et je n'avais aucune envie de payer une chambre pour ne pas y dormir. Je sortis donc dehors et admirais quelques instants le clair de lune avant de décider de partir me dégourdir les jambes en direction de la forêt, je me baladais champêtrement pendant une petite heure, et réalisais que je n'avais pas mangé depuis un bon moment. Heureusement, il me restait de la viande de l'ours que j'avais tué, il y a quelque jours, j'avais bien fait de prendre la précaution de cuire la viande ce jour-là, je n'avais aucune envie de construire un foyer et d'allumer un feu alors que nous venions d'attaquer les bandits et que ceux-ci se dirigerait sans doute par ici pour se venger. Ils n'attaqueraient probablement pas avant le lendemain, mais je n'aimais pas faire reposer ma sécurité sur une supposition.
Après avoir rapidement mangé, je m'inquiétais un peu de la sécurité de mes camarades resté au village, pourquoi donc m'inquiétais-je pour eux d'ailleurs? J'avais vraiment l'impression de ressentir un sentiment étrange vis-à-vis de ces deux personnages. J'avais toujours été seul, et je n'avais jamais compté sur personne depuis que Hirir était mort, je ne m'étais jamais inquiété pour personne non plus. J'aurais le temps de comprendre ça plus tard.
Je décidais de retourner vers le repaire des bandits pour voir si ceux-ci faisait mouvement vers la ville, j'atteins rapidement le camp de fortune qui avait été dressés par les villageois pour nous attendre, il semblait vide, mais alors que je m’apprêtais à rentrer dans la clairière, j'entendis des pas, et je vis surgir au moins une vingtaine d'hommes de l'autre bout de la clairière.

Ils avaient l'air d'avoir une discussion assez animé.
Bob le bandit: On est bientôt arrivés au village, ils vont voir ce qu'ils vont voir ces pécores, attaquer mon repaire alors que n'y suis même pas et tuer ma chère pupuce, j'ai nourris cette salamandre moi-même depuis qu'elle était toute petite.
Jacques le bandit: Vous exagérez un peu chef, on l'a acheté à un dresseur il y a deux mois. Et puis les copains m'ont demandé de vous dire qu'ils sont fatigués, on pourrait pas se reposer un peu ici et attaquer le village demain.
Non je veux ma vengeance, maintenant, pas dans une heure, pas demain, maintenant!
Vous savez de toute façon, il reste au moins deux heures de marche jusqu'au village. Et il y en a derrière qui commencent à s'endormir debout. On a accepté de repartir au combat alors qu'on venait à peine de rentrer mais faudrait voir à pas nous traiter comme des skavens.
Tu oses discuter mes ordres?
Ben si j'étais tout seul, non, mais une bonne partie des copains va faire grève si vous nous forcez à continuer à marcher en plus, il y a un petit campement dans cette clairière, on pourrait bien dormir un peu,non?
Vous vous liguez contre moi? Le grand Bob le bandit, votre grand chef, l'immortel voleur.
Une énorme brute s'avance vers Bob en levant son poing de manière menaçante.
Ouais, bah le chef, il ferait mieux de nous laisser nous arrêter, ou alors il portera très mal son surnom, si tu vois ce que je veux dire.
Bon, mais on repart demain à l'aube et pas de feu, je ne veux pas que ces pécores de villageois soient au courant de notre arrivé.

Ayant surpris cette conversation, j'étais rassuré, mes compagnons étaient en sécurité, du moins jusqu'à demain, je me rapprochais du village et fit un petit somme, en ne dormant que d'un œil. Je me réveillais un peu avant l'aube et me dirigeais jusqu'au village. Je vis l'icarien à la sortie du village.

Salut, il va falloir partir vite! Des bandits vont venir attaquer le village. Tu as vu Bori?
Au fait c'est quoi ton nom?
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Une mouche qui passe
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MessageSujet: Re: Sur les routes.   Sur les routes. EmptyMar 17 Mai - 19:02

Salut, il va falloir partir vite! Des bandits vont venir attaquer le village. Tu as vu Bori?
Au fait c'est quoi ton nom?
Bandits ? Bori ? Nom ? Gné ? Putain je suis pas du matin moi, je bite rien mais moi en tout cas c'est Akhoris, prince du destin, fils du ciel, pourfendeur de nuages.
Enchanté Akhoris, déjà tant de titres à ton âge, c'est impressionnant, autoproclamé je suppose?
Bori c'est le nain qui était avec nous hier, ne l'as tu pas vu dans le coin, n'a-t-il pas dormi à la taverne avec toi?
Il faut partir d'ici rapidement!

Ah bah tu sais il est tellement petit on le perd rapidement ! Mais tu es sur qu'il n'est pas parti déjà ? On pourrait peut être partir, tout les deux, profitant l'un de l'autre ...
Non, j'aimerais mieux l'attendre le vieux avait l'air de trouver ça important. Et il n'est pas inutile en combat. Tu viens avec nous?
ALLEZ LES GARS, ON REPART SUR LES ROUTES !
Et bah euh ... allons y joyeuse compagnie, je serais des vôtres puisque vous y tenez tant ! Nul besoin de me remercier, cela me fait plaisir !
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Hob de Lassier
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MessageSujet: Re: Sur les routes.   Sur les routes. EmptySam 21 Mai - 14:09

Et bah euh ... allons y joyeuse compagnie, je serais des vôtres puisque vous y tenez tant ! Nul besoin de me remercier, cela me fait plaisir !
-Ouais mon gros poussin, direction la côte ouest, pour atteindre Vilfort par bateau !

Il s'agissait maintenant de quitter les environs le plus vite possible. Il leur faudrait environ deux jours de marche avant de quitter la zone d'influence de Thorsborg, et les ennuis liés à des bandits pas si morts que ça. Deux jours de marche pour atteindre un port côtier, dans lequel on était même pas sûr d'avoir un bateau. Peu importait si l'idée semblait mauvaise, c'était son idée et ni l'elfe ni le poussin ne pourraient le faire changer d'idée. Et pas question d'utiliser son or pour payer un bateau, c'était son pécule de départ pour son entreprise dans le sud. Ils n'auraient qu'à voler un navire, ou alors prostituer le zozio pour quelques piécettes.

(je vais écrire des trucs plus tard, parlez entre vous et continuez le chemin)
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Ëalmir
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MessageSujet: Re: Sur les routes.   Sur les routes. EmptyDim 19 Juin - 11:01

-Ouais mon gros poussin, direction la côte ouest, pour atteindre Vilfort par bateau !

Le nain avait tout naturellement adopté Akhoris dans la compagnie, je me serais attendu a plus de difficulté de sa part, cela m'intriguait mais enfin tant mieux. Cela évitait un long débat inutile.
Il avait l'air de vouloir prendre le bateau, l'idée était loin de me déplaire j'avais eu trop peu souvent l'occasion de prendre la mer et l'expérience m'avait toujours plu. Cependant, c'était un peu curieux venant d'un nain, il était rare que cette race ai le pied marin.
Enfin, j'aurais bien le temps de m'en rendre compte une fois sur le bateau.
Le nain montrait en tout cas un entrain prononcé à quitter rapidement le village, il avait déjà pris la route sans même se retourner pour vérifier si nous le suivions. Avant même que je lui ai parlé des bandits, sans doute se doutait-il que es bandits ne laisserait pas notre intrusion impuni, ce petit compagnon n'était définitivement pas né de la dernière pluie.

Je lui emboitais donc le pas en faisant signe à Akhoris de me suivre.
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